Gouvernement du Nouveau-Brunswick
 

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Exemples de réussites
Melanie Cambia - Officière GRC


Devenir agente de la GRC a toujours intéressé Mélanie Cambia. « Je ne me suis jamais vraiment imaginé faire autre chose, dit cette native de Montréal. Ma mère est originaire de Tracadie, au Nouveau-Brunswick, alors nous passions du temps à Tracadie l'été quand j'étais jeune. Je voyais les agents de la GRC et je m'intéressais beaucoup en quoi consistait les services de police au Nouveau-Brunswick. »

Mélanie est agente de police depuis l'âge de 22 ans. Elle a suivi sa formation à Régina, dans un centre de la Division Dépôt.

Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires, Mélanie a présenté sa candidature à un programme de techniques policières,qui mène à un diplôme obligatoire au Québec pour ceux et celles qui veulent devenir agents de police. Bien qu'elle n'ait pas été admise la première fois, elle n'a pas abandonné. Elle a poursuivi des études collégiales en sciences, puis deux ans plus tard, a de nouveau présenté sa candidature au programme de techniques policières et a été admise.

Tout en poursuivant ses études, Mélanie a fait une demande d'admission à la GRC. « Après avoir terminé mes trois années au sein du programme de techniques policières, j'ai été admise à l'académie de formation de la GRC à Régina, en Saskatchewan. » Six mois plus tard, ellea été affectée à Oromocto, au Nouveau-Brunswick.

Mélanie a toujours été attirée par ce qu'elle estimeêtre les responsabilités d'un agent de la GRC. « Les agents de police sont responsables de maintenir la paix, de faire respecter la loi et de fournir un service de qualité en partenariat avec nos communautés, dit-elle. Un emploi au sein de la GRC offre tout un éventail de défis riches et stimulants, la possibilité de travailler partout au Canada et un régime de rémunération et d'avantages sociaux concurrentiel. »

La diversité et la possibilité de changer de parcours professionnel figurent parmi les caractéristiques qui intéressent Mélanie. « À cette étape de ma carrière, je constate que la GRC m'offrira ces possibilités, à condition que j'en demeure membre qualifiée. »

Mélanie est présentement affectée à un poste de recrutement à Fredericton : elle est l'agente de recrutement proactif pour le Nouveau-Brunswick. Parmi ses fonctions, elle fait passer les examens et les entrevues aux candidats, détermine s'ils ont les qualités requises et fait la promotion de la GRC en tant qu'intervenant positif dans les communautés. « Le recrutement m'a toujours intéressée et j'adore ma carrière. Parler aux candidats et leur expliquer mon expérience est toujours un aspect positif de mon travail. En tant qu'agente de recrutement proactif pour le Nouveau-Brunswick, mes journées suivent habituellement un horaire fixe. J'évalue les dossiers des candidats, je leur fais passer des entrevues ou je voyage dans toute la province pour donner des présentations ou faire passer des examens. »

Mélaniea aussi occupé un poste d'agente des services généraux pendant trois ans et demi. « Lorsque j'étais agente des services généraux, mes journées étaient toujours très différentes. Je ne savais pas si j'allais devoir enquêter sur un crime majeur, diriger la circulation, remplir des rapports ou parler devant un groupe d'élèves. Bien que mon poste de recrutement ait été un changement positif et m'ait permis de vivre une expérience différente, j'ai beaucoup aimé être sur la route et faire la patrouille dans la collectivité, et j'aimerais y retourner, indique-t-elle. Si vous êtes le genre de personne qui n'aime pas faire la même chose jour après jour, la GRC pourrait vous intéresser. »

À l'heure actuelle, environ 20 % des agents assermentés du corps policier sont des femmes 1 . Selon Mélanie, « de plus en plus de femmes poursuivent cette carrière au fil des ans. Jusqu'à présent, tous mes collègues ont été excellents. Les obstacles auxquels je me heurte en tant qu'agente de police sont de nature intérieure. Je me demande parfois si je suis suffisamment forte, suffisamment imposante, suffisamment confiante… mais chaque fois que surgissent ces questions, j'essaie de les écarter en ayant confiance en mes actions et en ayant la certitude que la GRC m'a adéquatement entraînée à me fier à mes instincts et à réagir correctement dans différentes situations ».


« Je n'hésite pas à recommander aux jeunes femmes de présenter leur candidature à la GRC. Être agente de la GRC, c'est un travail très enrichissant. Nous savons que nous aidons les autres, ce qui fait que ça en vaut la peine. »


La clé du succès peut être différente pour chaque personne. Pour Mélanie, :

« Rester positive… déterminée… et confiante, voilà ma clé du succès. Ne jamais abandonner son rêve même si on a l'impression qu'il est très, très loin. »

Service de police fédéral du Canada, la GRC travaille à l'échelle fédérale, provinciale et municipale. Pour s'acquitter de ses responsabilités fort variées, elle emploie trois catégories d'employés : membres réguliers (agents de police), membres civils et employés de la fonction publique.

Si une carrière au sein de la GRC vous intéresse, vous pouvez communiquer avec le service de recrutement ou directement avec Mélanie Cambia.

506-452-3485 ou

1-877-RCMP-GRC

Mélanie Cambia, gendarme
Recruteuseproactive
Division J de la GRC
506-451-2513 (bureau)
506-261-0594 (cellulaire)

  Les femmes dans la GRC

•  1 http://bit.ly/MtWyFL (en anglais seulement)

•  http://www.rcmp-grc.gc.ca/hist/female-femme-fra.htm

 

MHe 2012-07-06

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