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Women Femmes NB est publié deux fois par mois par la Direction des questions féminines du gouvernement provincial. Il diffuse des nouvelles sur les questions d’égalité - des événements, des rapports, des initiatives et des renseignements nous provenant des groupes de femmes, des gouvernements, des universités et autres.

Les textes fournis par des organismes non gouvernementaux seront publiés dans la ou les langues dans lesquels ils nous sont fournis.

 

 

(English version follows)

Women Femmes NB
le 31 août 2011

DANS CE NUMÉRO :

  • COMPARAISON DES PENSIONS ALIMENTAIRES DANS 8 JURIDICTIONS
  • AVIS
  • EXEMPLES DE RÉUSSITES - MEAGHAN SEAGRAVE, AGENTE DE COMMERCIALISATION
  • DES ÉCARTS ENTRE LES SEXES DANS L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
  • REVENU ET PREMIÈRE LANGUE PARLÉE, N.-B., 2006
  • SONDAGE DES ÉLÈVES FRANCOPHONES – SEXES
  • CONFONDUS
  • LOGEMENTS À LOUER - DES ANNONCES NON DISCRIMINATOIRES
  • ASSURANCE-EMPLOI
  • UN SALAIRE DIGNE

………………………………………………………………………………

COMPARAISON DES PENSIONS ALIMENTAIRES DANS 8 JURIDICTIONS

Le Nouveau-Brunswick est 1 de 3 provinces (avec T.-N. & la N.-É.) ayant un système d'inscription automatique des ordonnances alimentaires : elles sont inscrites auprès d'un programme d'exécution lorsque l'ordonnance est rendue ; un destinataire qui veut se retirer du programme doit faire la demande.

Les enfants sont les seuls bénéficiaires dans la grande majorité des cas (c-à-d peu d'ordonnances sont au bénéfice d'un-e conjoint-e). Un enfant est le bénéficiaire dans 94% des ordonnances (Canada, 93%). 95% des destinataires sont des femmes (Canada, 97%).

Environ 9% de tous les enfants au N.-B. sont bénéficiaires d'une ordonnance alimentaire (12% à Campbellton et 7% à Fredericton ; Canada, 6%). Parmi les 8 juridictions, le N.-B était la province où le montant mensuel moyen pour les cas ne comptant qu'un enfant était la plus faible (200$). Le montant annuel (tous les cas) était de 2 210$ au N.-B.

67 % des destinataires ont reçu le montant complet du paiement régulier (Canada, 64%) en 2010.

Le taux de perception (le montant reçu divisé par le montant dû) se situait à 89% pour le N.-B. (Campbellton–Miramichi, 95%). La Saskatchewan avait le meilleur taux provincial, 92%.

- Les pensions alimentaires pour les enfants et le conjoint dans les régions métropolitaines et non métropolitaines, 2009-10. Paul Robinson & Mathieu Charron, Statistique Canada, mars 2011. http://bit.ly/o9x18z

 

AVIS

Des médias francophones du N.-B. ont invité le Regroupement féministe au N.-B. à mettre à leur disposition une liste d'intervenantes afin de remédier à la sous représentation des femmes dans ces médias (voir l'analyse réalisée par le RFNB : http://bit.ly/niTlq2). Les médias auraient alors la possibilité de les contacter pour effectuer des entrevues. Soumettez votre nom ou ceux de femmes qui ont de l'expertise /l'expérience dans un domaine (santé, développement communautaire, histoire, environnement, droits...). [email protected]

Êtes vous intéressée à siéger au sein d'un conseil d'administration d'une agence, d'un conseil ou d'une commission? Soumettez une lettre et votre résumé. Vacances actuelles : Travail sécuritaire NB, Conseil des arts, Service NB et diverses corporations des déchets solides. http://bit.ly/fXTxdM

Marraines d'allaitement maternel – Programme qui offre un soutien aux femmes enceintes dans le sud-est du N.-B. depuis 2005, en les jumelant avec des mères qui ont déjà allaités. Si vous voulez faire partie en devenant marraine d'allaitement ou si vous connaissez une femme enceinte : Lise Privé, 576-6539 ; Anne- Renée Landry, 743-5929.

Ombres de violence - Un ballet original multi média par le Ballet-Théâtre Atlantique du Canada, situé à Moncton, qui s'inspire de la vie de femmes ayant perdu la vie aux mains d'un partenaire intime. Elle fait appel à la prise de conscience, à la compréhension et à l'action, dans une production innovatrice et poignante qui conjugue les éclairages évocateurs, l'art dramatique, la musique et le multimédia. Préservant le souvenir de ces victimes silencieuses, le ballet raconte leurs luttes, leurs espoirs, leurs joies, et notre deuil. La première de ce ballet a eu lieu en février au Centre national des arts à Ottawa. Il sera présenté cet automne à Fredericton, Moncton et Saint John. Les dates seront annoncées bientôt.

L'Association canadienne pour l'avancement des femmes du sport & de l'activité physique cherche des organismes désireux de participer à la tenue d'un atelier dans leur communauté sur les besoins des filles inactives (de 9 à 18 ans), soit un atelier d'ordre général ou sur un thème (activité après l'école, les nouvelles arrivantes). Faites demande avant 30 sept 2011. http://www.caaws.ca/f/leadership/

Les femmes et le leadership – Organisez un atelier dans votre communauté pour appuyer les femmes employées ou bénévoles dans le milieu sportif, avec l'aide de l'Assoc. canadienne pour l'avancement des femmes du sport & de l'activité physique. Faites demande avant 30 sept 2011. http://bit.ly/oJJxBI

Conférence mondiale des maisons d'hébergement pour femmes - 27 fév-1 mars 2012, Washington, DC. Parmi les sujets d'ateliers : Pratiques en maison d'hébergement dont évaluation du danger ; Soutenir les défenseur(e)s et les allié(e)s. Rabais d'inscription hâtive jusqu'au 31 août. http://bit.ly/qq1ZOX

Guide-ressource pour filles et jeunes femmes du N.-B. – Un outil attrayant qui aide les filles à prendre des décisions et les inspire à trouver leur propre voie vers l'autonomie. Femmes Équité Atlantique 2010. http://bit.ly/r5pNrs

 

EXEMPLES DE RÉUSSITES - MEAGHAN SEAGRAVE, AGENTE DE COMMERCIALISATION

Meaghan Seagrave a grandi à Moncton et à Fredericton et a été une athlète active. « J'ai été passionnée par les sports tout au long de ma jeunesse », déclare Mme Seagrave, qui a effectué son grade de premier cycle à l'Université du Nouveau-Brunswick, pour ensuite obtenir un diplôme d'études supérieures de l'Université de la Colombie-Britannique. En effet, elle a fait partie de l'équipe de natation de ces deux établissements de formation.

« À l'époque, je m'intéressais à la physiologie et à la nutrition, et je croyais que je ferais carrière dans un domaine connexe, explique Mme Seagrave, qui est agente de commercialisation pour l'entreprise BioAtlantech, à Fredericton. Cela fait maintenant près d'un an que je travaille pour BioAtlantech. Avant d'occuper ce poste, j'ai travaillé pendant presque 13 ans dans l'industrie des technologies de l'information (TI). Ce n'est pas un cheminement de carrière traditionnel pour une personne ayant une formation scientifique, mais si je devais recommencer mon parcours, je n'y changerais rien. »

- Lisez l'article complet au site web Navigation carrière N.-B. : http://bit.ly/p78gVo

 

DES ÉCARTS ENTRE LES SEXES DANS L'ACTIVITÉ PHYSIQUE

Seulement 4% des adolescentes (et 9% des adolescents) atteignent les niveaux recommandés d'activité physique chaque jour. Dans certaines études, les filles signalent être confrontées à un plus grand nombre de difficultés lorsqu'elles font de l'activité physique et être plus souvent la cible de taquineries en raison de leur apparence ou leur coordination et de critiques au sujet de leur taille ou de leur poids. Les filles qui font de l'exercice en gymnase présentent des niveaux élevés d'insatisfaction par rapport à leur corps, ainsi que des désordres alimentaires, comparativement aux filles qui ne fréquentent pas le gymnase. Des pistes de solution : s'assurer que l'accent soit mis sur les occasions de s'adonner à des activités récréatives plutôt que sur la compétition et la performance individuelle. http://bit.ly/r8pArq

 

REVENU ET PREMIÈRE LANGUE PARLÉE, N.-B., 2006:

Les femmes francophones de 25 à 44 ans ont un revenu médian de 1 000 $ supérieur à celui des femmes anglophones – le seul groupe d'âge où les revenus des femmes francophones sont supérieurs. (Dans tous les groupes d'âge, les femmes, francophones ou anglophones, ont un revenu inférieur à celui des hommes). Dans l'ensemble de la population, tant chez les hommes que chez les femmes, les revenus moyens des anglophones sont souvent supérieurs. La source de ces écarts réside en partie dans le fait que la population anglophone de moins de 65 ans est légèrement plus scolarisée.

- Portrait des minorités de langue officielle au Canada : les francophones du N.-B., Statistique Canada, 2011, bit.ly/oY1tWL

 

SONDAGE DES ÉLÈVES FRANCOPHONES – SEXES CONFONDUS

761 élèves de la 12e année du secteur francophone au N.-B. ont participé à un sondage mené par le ministère de l'Éducation en 2010 afin de connaître leurs perceptions de leur expérience scolaire et de leur avenir. Malheureusement les résultats ne sont pas offerts selon le sexe, bien que la question du sexe des répondants a été posée (55% étaient des filles). Quelques résultats pour les 2 sexes :

9 répondants sur dix sont d'accord que l'école est un milieu sécuritaire, bien que 43 % croient que l'apprentissage est interrompu par des problèmes de comportement

26 % affirment avoir été victime d'intimidation alors qu'ils étaient en 6e, 7e ou 8e année. Le taux diminue à 18 % entre la 9e et la 12e année. 27 % ont été intimidé-e-s fréquemment.

45 % disent consacrer au moins une heure par semaine à faire du bénévolat dans leur collectivité.

Près de la moitié ont eu l'occasion de prendre des cours dans les domaines des métiers ou des arts. 60 % des répondants ont eu l'occasion de participer à des activités axées sur la carrière.

73% des répondants sont satisfaits des occasions offertes par l'école de participer à des activités physiques autres que celles liées à leurs cours d'éducation physique. 7 répondants sur dix croient que l'école leur a permis de développer des attitudes positives envers l'activité physique.

Un peu plus de la moitié ont indiqué consacrer plus de 10 heures par semaine à un emploi. Un peu plus de la moitié des répondants pratiquent des activités sportives à l'extérieur du cadre scolaire (24 % y consacrent 6 heures ou plus par semaine).

Près de la moitié disent avoir une certaine ou une bonne connaissance du gouvernement fédéral et provincial. 80 % ont l'intention de voter aux prochaines élections.

La moitié veut poursuivre des études universitaires. 20 % veulent poursuivre des études collégiales. 5 % ont l'intention de travailler dès la sortie du secondaire et poursuivre leurs études plus tard.

Près de la moitié ont l'intention d'obtenir un diplôme universitaire. 21% ont l'intention d'obtenir un diplôme de 2 ans ou moins, et 10 % ont l'intention d'obtenir seulement un diplôme secondaire.

Le manque d'argent est l'obstacle le plus important à la poursuite des études postsecondaires. 42 % des répondants croient que l'argent constitue un obstacle possible ou principal.

Un peu plus de la moitié ont l'intention de demeurer au N.-B. Environ 29 % ont l'intention de quitter mais de revenir dans quelques années.

- http://bit.ly/qgtBPu

 

LOGEMENTS À LOUER - DES ANNONCES NON DISCRIMINATOIRES

La Commission ontarienne des droits de la personne collabore avec les médias et les sites Web de logement pour éliminer les annonces de logement à louer discriminatoires. Elle a examiné 28 sites Web qui affichent des annonces de logements à louer. Sur certains sites, 20 % des annonces utilisaient un énoncé qu'on pourrait considérer comme discriminatoire : « Immeuble pour adultes », « Pas d'enfants », « Personnes célibataires seulement », « Idéal pour des personnes qui travaillent », « Pas de bénéficiaires du Programme de soutien aux personnes handicapées », Ces annonces découragent certains groupes de présenter une demande par crainte de ne pas être traités équitablement.

La Commission offre un module d'apprentissage en ligne sur les droits et le logement et propose des solutions de rechange pour des annonces: Ajoutez une clause de non-discrimination sur les formulaires que les locateurs utilisent pour faire paraître une annonce. Décrivez le logement et non le locataire; le loyer, les dimensions, l'immeuble. Exemple de location d'un petit appartement en sous-sol : À éviter : « Parfait pour un étudiant » ou « Idéal pour un professionnel célibataire ». Recommandé : « Appartement en sous-sol lumineux, nouvelles armoires de cuisine, salle de bain complète, accès à un casier de rangement, buanderie partagée dans un bâtiment de cinq logements. Situé sur 2 parcours d'autobus. »

Des études démontrent que les personnes qui reçoivent l'aide sociale, une pension ou un revenu de retraite sont tout aussi aptes à payer leur loyer que les gens qui travaillent.

- Commission ontarienne des droits de la personne, 14 juin 2011, http://bit.ly/oKu4FG;

Voir le document de 2004 de la Commission des droits de la personne du N.-B., Lignes directrices sur la discrimination dans le secteur du logement, http://bit.ly/mXW7tv

 

ASSURANCE-EMPLOI

Bien plus d'hommes que de femmes reçoivent des prestations ordinaires de l'Assurance-emploi au N.-B. En juin 2011, 16 300 hommes et 9 900 femmes recevaient des prestations ordinaires – le même taux que l'année précédente pour les hommes mais une baisse de 8% pour les femmes. Au niveau canadien pendant la même période, le nombre d'hommes recevant des prestations ordinaires a chuté de 20% et le nombre de femmes a diminué de 16%.

- Assurance-emploi, juin 2011, http://bit.ly/nPB1Dd

 

UN SALAIRE DIGNE

Kurt Peacock, de Saint-Jean, au sujet de la pauvreté au Nouveau-Brunswick dans son rapport commandé par le Conseil canadien de développement social: «Malgré la promotion que le gouvernement a faite du travail en tant que remède contre la pauvreté, la valeur réelle des emplois de premier échelon a à peine suivi le rythme de l'augmentation des coûts de l'énergie, du logement et de la nourriture. Les familles et les individus qu'on encourageait à abandonner l'aide sociale n'ont pas nécessairement trouvé l'abondance économique aux premiers échelons du marché (...) Plus récemment, les gains financiers provenant du travail au salaire minimum ont augmenté considérablement (...) Cependant, après correction pour l'inflation, le travailleur au salaire minimum au N.-B. gagne présentement moins qu'un travailleur au salaire minimum il y a 30 ans.

- Tiré d'une chronique de Jody Dallaire dans l'Acadie Nouvelle du 19 août 2011. http://bit.ly/oed2CT

 

EN FIN DE COMPTE
Le grand apport du féminisme de la fin du 20e siècle a consisté dans l'élaboration complexe de la question de la solidarité entre les femmes, et de la transmission de ce qu'on peut ou doit appeler le « matrimoine »… Chaque jour des événements plus ou moins spectaculaires, ou même médiatiques, nous rappellent que la relation entre les sexes reste un enjeu politique et éthique… Quant à l'affaire DSK, elle témoigne au moins, et de manière caricaturale, de l'hétérogénéité (la différence) persistante des positions masculines et féminines dans un même monde... Même une féministe radicale n'aurait pu imaginer un tel scénario !

- Françoise Collin, philosophe féministe, juillet 2011. http://bit.ly/pOMcY

 


 

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Women Femmes NB is sent out twice a month by the provincial government Women's Issues Branch. It provides news related to equality issues, including events, studies, initiatives and information from women's groups, governments, universities, etc.

Text from non-governmental sources will be published in the language(s) in which it is provided.

 

 

Women Femmes NB
August 31, 2011

IN THIS ISSUE:

  • COMPARING CHILD SUPPORT IN 8 CANADIAN JURISDICTIONS, 2010
  • NOTICES
  • SUCCESS STORY - MEAGHAN SEAGRAVE, COMMERCIALIZATION OFFICER
  • BOYS’ PHYSICAL ACTIVITY LEVEL IS LOW, GIRLS’ IS WORSE
  • IF THERE'S ONE THING THAT REALLY IRKS ME ABOUT MOST TEENAGE BOYS…
  • COME FOR THE PIZZA, STAY FOR THE DECONSTRUCTION OF MASCULINITY
  • EMPLOYMENT INSURANCE
  • SHOULD WOMEN EMPHASIZE COMMONALITIES OR DIFFERENCES?
  • ENCOURAGING WORK THROUGH A MEANINGFUL WAGE

………………………………………………………………………………

COMPARING CHILD SUPPORT IN 8 CANADIAN JURISDICTIONS, 2010

New Brunswick is one of 3 provinces (with N.S and Nfld) that has an automatic registration system of child or spousal support orders – the order is filed with an enforcement program when it is made and to be removed from the program, a recipient must request it.

Almost all beneficiaries of support orders in N.B. are children (very few cases include spousal support): only child support is paid in 94% of the cases (Canada, 93%). The payments are made to mothers in virtually all cases: 95% of N.B. recipients were women (Canada, 97%).

About 9% of N.B. children are beneficiaries of a support order (12% in Campbellton, 7% in Fredericton; Canada, 6%). New Brunswick had the lowest median monthly amount due for cases with a single child ($200). The median annual amount collected in N.B . (all cases) was $2,210.

Two-thirds of recipients received their payments in full in 2010 (N.B., 67%; Canada, 64%).

The collection rate (amount received during the year divided by amount due) for all cases registered in N.B. was 89%. Collection rates in N.B. were highest in the Campbellton-Miramichi economic region at 95%. Saskatchewan had the highest rate in the 8 jurisdictions, at 92%.

- Child and spousal support in metropolitan and non-metropolitan areas, 2009-10, Paul Robinson & Mathieu Charron, StatCan, March 2011. http://bit.ly/oVVbU5

 

NOTICES

Take Back The Night March, St. Stephen – Fri 16 Sept 2011, 7-9pm. March from border crossing to Town Sq. Public protest by the community for women, reacting to sexual violence incidence & victim blaming. Charlotte County Abuse Prevention Network. [email protected]

Fern Paul is the new Aboriginal Victim Services Program Support Coordinator with Public Safety, Government of New Brunswick, Fredericton.

Ghosts of Violence - Groundbreaking multi-media ballet by Atlantic Ballet Theatre of Canada based in Moncton brings to life stories inspired by women who have died at the hands of a partner. Through movement, theatre, music and videography, it captures their memory – their struggles, their hopes, their joys and our loss. Its world premiere was last February at National Arts Centre in Ottawa, and it's coming this fall to Fredericton Playhouse, Moncton's Capitol Theatre & Saint John's Imperial Theatre. Dates to be announced. “An innovative and poignant call for awareness, understanding and action.”

Are you interested in serving on N.B. agencies, boards & commissions? Submit a letter and résumé. Current opportunities: board member for WorkSafeNB, Arts Board, Service NB & various Solid Waste Corporations. http://bit.ly/hhEEYN

Mutual Shaping of Gender and Technology at N.B.'s Community Access Program Sites - Thesis title of Lori Leach, Sociology PhD candidate, presenting it 2 Sept 2011, 1pm, Tilley Hall, Rm 8.

Domestic Violence and its Impact on Families - 2-day conference with Dr. Lorraine Fox for service providers & citizens. Q-Plex, Quispamsis, 3-4 Oct 2011. $70 includes meals. Register: [email protected]; 649-2580.

Interested in hosting a half-day workshop to increase activity level of girls (9 to 18 yrs) in your community? Themes incl: after-school activity, Aboriginal girls, newcomer girls. Apply by 30 Sept 2011. Canadian Assoc.for Advancement of Women & Sport & Physical Activity. http://caaws.ca/onthemove.

Kent County Breastfeeding Mentors' Program - provides support to expecting women in southeastern NB since 2005 by pairing them with mothers who have experience. Want to take part by mentoring or if you know an expecting woman? Lise Privé, 576-6539; Anne-Renée Landry, 743-5929.

The Myth of Osteoporosis: blowing the whistle on the epidemic – Free webinar by Cdn Women's Health Network, with Gillian Sanson, author of The Myth of Osteoporosis. Thurs 8 Sept 2011, 5-6 pm(NB time) We are told osteoporosis afflicts half of women over 50. How do we get such figures? Sanson discusses WHO's decision to change the definition of osteoporosis & casts doubt on bone densitometry technology You need high speed internet & speakers/ headset. Limited space. Register: [email protected] . If you can't attend webinar, request to be told when recording is posted. Blog: http://bit.ly/pkHbF7

For Her Own Good Conference - Do policies and practices effectively respond to the health and safety needs of women impacted by violence? 1 Nov 2011, Vancouver. Incl workshops on Violence & trauma in the lives of women receiving treatment services in mental health system; Positive mental health outcomes for rural and remote women experiencing violence and abuse in Atlantic Canada. http://bit.ly/qNyRnh

World Conference of Women's Shelters – 27 Feb-1 March 2012, Washington, DC. Workshops incl: Shelter Practices incl danger assessments; Addressing Barriers & Creating Access; Empowering Advocates & Allies. Early bird deadline 31 Aug 2011. www.worldshelterconference.org

Women & Leadership - Host a workshop for women working/volunteering in sports. Apply by 30 Sept 2011. Cdn Assoc. for the Advancement of Women & Sport & Physical Activity. http://bit.ly/pNdBAT

Merchandising for Retail Business with Kelly Deagle - group workshop & 2-hr private consultation at your location. 9-4:30pm, 27 Sept 2011. Hampton Inn, Saint John. $150 incl lunch. Women in Business NB. Register: [email protected]; 466.5055.

Know Your Rights - 10-part series on CBC Radio started June 2011. Host Craig Norris. http://bit.ly/nb8Bqn; Episode 5, Freedom from discrimination based on sex (27 min): http://bit.ly/ngbXHD; Blog http://bit.ly/oUDBVQ

 

SUCCESS STORY - MEAGHAN SEAGRAVE, COMMERCIALIZATION OFFICER

Meaghan Seagrave grew up in Moncton and Fredericton and was an active athlete. “My passion growing up was always sports,” says Seagrave who later went on to complete her undergraduate degree at the UNB and graduate degree at UBC where she swam on varsity teams at both universities.

“My interests were around physiology and human nutrition at the time and that's where I thought my career path was going to go,” says Seagrave who now works as a commercialization officer with BioAtlantech in Fredericton. “I've worked here just under a year and prior to this position I spent almost 13 years working in the IT industry.” Not exactly your typical career path for someone with a science background but looking back, I wouldn't have changed a thing.

- Read full story on NB Career Surf: http://bit.ly/q9ghY3

 

BOYS' PHYSICAL ACTIVITY LEVEL IS LOW, GIRLS' IS WORSE

Only 4% of teen girls (9% of boys) achieve the recommended levels of daily physical activity in Canada. In some studies, girls report experiencing more barriers to participating in physical activities & report more teasing re their appearance or coordination & criticism because of their size. Girls who exercised at a gym were more likely to have higher levels of body dissatisfaction & disordered eating patterns. Solutions: Focus on recreational activities rather than competition or individual performance. - http://bit.ly/qpsls2

 

IF THERE'S ONE THING THAT REALLY IRKS ME ABOUT MOST TEENAGE BOYS…

… it is their blatant homophobia... One of my guy friends had a party and invited a bunch of guys. He managed to leave out one of our friends who many have assumed to be gay. The friend ended up getting invited in the end, but the other boys kept trying to get rid of him throughout the night and tried to stay far away from him… Even if he were gay, why should that change the way he's treated?' If a straight girl and gay boy were on either side of a teenage boy, chances are he would move away from the boy. Why? It's not as if, because he is gay, he's going to come onto you. Would you assume that the straight girl is going to come onto you? Probably not… The mindset of those who are homophobic stumps me.

- Excerpt, Homophobia, Isabelle Agnew, Grade 11, Moncton High. Times Transcript, 20 Aug 2011. http://bit.ly/nG3bjP

 

COME FOR THE PIZZA, STAY FOR THE DECONSTRUCTION OF MASCULINITY

During lunch at a high school in Washington DC, half a dozen teenage boys gathered to eat pizza and talk about hollering at women. “From where I come from, you holler at a girl. A girl can't be too upset when a guy is paying attention to her.” “It depends on the type of girl and whether she has respect for herself,” another says. Kedrick Griffin, facilitator in the “Men of Strength” club, run by Men Can Stop Rape, plays the devil's advocate on a subject that's considered normal behavior for a boy in DC. These students have been eating his pizza since September. By now, they know that it's wrong to blame a woman for rape based on what she's wearing; they're struggling through the street harassment piece. Griffin spends less than an hour with each group at 9 schools - enough time, he hopes, to challenge traditional masculinity and push them to respect females.

He performs an exercise he calls “The Real Man,” showing photographs of male celebrities and asking students who they think society says is a real man and why, to reveal how ‘manhood' is threaded with negative attributes. “When we talk about a real man, we think of stuff like: Strong. Lifts weights. Spike TV. Prison. Explosions,” says a student. “When we talk about men in our lives and what we want from them, we think: Nice. Fun. Cares about us. Respects his family.” “In the dominant story of masculinity, the only emotions we are taught to show are anger and rage,” says Griffin. They nod.

- Excerpts, The Sexist, Amanda Hess, 27 May 2010, http://bit.ly/qnB9Gn

 

EMPLOYMENT INSURANCE

Many more men than women in N.B. qualify for employment insurance. In June 2011, 16,300 men and 9,900 women were receiving regular employment insurance benefits - the same number as last year for men but a decrease of almost 8% for women. Nationally in the same period, the number of men receiving regular benefits fell by 20% and the number of women by 16%.

- Employment Insurance, June 2011 www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/110818/dq110818b-eng.htm

 

SHOULD WOMEN EMPHASIZE COMMONALITIES OR DIFFERENCES?

For as long as I can remember, a rallying cry within the women's movement has been that until all of us are free, none of us are free. The term “intersectionality” was coined at the end of the 80s, but the realities of multiple, inseparable identities and of intersecting – not parallel – oppressions have been long recognized (as) “double colonization,” “double discrimination” or being “multiply situated.” Integrating race, class, sexuality, ability and multiple factors into feminist analysis is key to the work of women's organizations like the Canadian Research Institute for the Advancement of Women (CRIAW) and the Legal Education Action Fund (LEAF), as well as that of women's & gender studies faculty…

Akua Benjamin has written about the sexism that Black women experienced, for ex., in Montreal in the years following the 1966 White Paper on Immigration and Citizenship, leading up to the 1969 protests at Sir George Williams Univ.: “The women were the workhorses in these organizations... Men were the leaders and we were told to do the grunge work.” A similar recognition of sexism within the Native rights movement, as well as of racism in Canadian society, is recorded by Métis writer Maria Campbell in her groundbreaking autobiography Halfbreed (1973). Women writers of the period (e.g., Margaret Laurence, Doris Lessing) also reveal the ambiguous situation of white women at home and abroad, sometimes powerful because of white skin privilege, sometimes powerless because of patriarchal laws and institutions… In Quebec, feminism was interlinked with the sovereignty movement. As union activist Monique Simard recalls: “The slogan of the women's liberation movement was: ‘There can be no liberation of Quebec without women's liberation, and no women's liberation without the liberation of Quebec.' So it was a total environment.”…

Should women emphasize commonalities or differences? The answer seems to be sometimes one; sometimes the other. Achieving equity within and across diverse communities is a cherished part of the widely shared dream of a just, caring, bilingual, multicultural Canada. Coalitions and alliances amongst women's groups and between women and men have been important, both historically … and today around issues ranging from reproductive choice to family violence prevention.

- Excerpts, The Work Is Far From Done, Wendy Robbins, UNB, 28 Apr 2010, Equity Matters blog of Cdn Federation for the Humanities & Social Sciences. http://bit.ly/pLEPED

 

ENCOURAGING WORK THROUGH A MEANINGFUL WAGE

Kurt Peacock of Saint John says about poverty in New Brunswick, in his 2009 report for the Canadian Council On Social Development, "Despite the provincial government's promotion of work as a remedy to poverty, the actual value of entry-level jobs has barely kept pace with rising costs for energy, housing and food. Families and individuals being encouraged to leave social assistance didn't necessarily find economic plenty in the entry-level labour market… Recently, the financial rewards of minimum-wage work have improved considerably... Adjusting for inflation, however, a minimum-wage worker in New Brunswick now is earning less now than a minimum-wage worker of 30 years ago."

- Excerpt from a column by Jody Dallaire in Times Transcript, 18 Aug 2011. http://bit.ly/mS3CPt

 

IN PARTING
What the woman who labours wants is the right to live, not simply exist. The right to life as the rich woman has the right to life and the sun and music and art. You have nothing that the humblest worker has not a right to have also. The worker must have bread, but she must have roses too.

- Rose Schneiderman, 1882–1972, Polish-born U.S. feminist, labour leader, in 1912.

 


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