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(English version follows)
Women Femmes NB
le 25 juin
2014

 

DANS CE NUMÉRO :

  • QUOI DE NEUF?
  • AVIS
  • LE SAVIEZ-VOUS?
  • 1 CANADIEN SUR 4 DÉJÀ ESSAYÉ D'AIDER UNE AMIE À QUITTER UN CONJOINT VIOLENT
  • LES INTERVENTIONS EN TRAVAIL D'APPROCHE : ÇA PASSE OU ÇA CASSE
  • "HYPER-MASCULINITÉ" HÉRITÉE DE LA GUERRE : DES VIOLS MÊME EN TEMPS DE PAIX AU LIBERIA

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QUOI DE NEUF?

Le processus d'élaboration de politiques et de prise de décision comporte souvent des situations qui peuvent avoir des répercussions différentes sur les femmes et les hommes et qui peuvent les influencer de façon différente. Une politique publique efficace offre de plus grandes possibilités de développement économique et social pour l'ensemble de la population.

En mai, la Province du Nouveau-Brunswick a effectué un lancement interne d 'o utils et de ressources en matière d'analyse comparative selon le genre pour mieux répondre aux divers besoins de la population néo-brunswickoise.

« Votre gouvernement montre la voie en matière de promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes et les garçons et les filles de notre province. Au début de 2014, une initiative pangouvernementale sera lancée relativement à l'utilisation d'analyses comparatives entre les sexes dans les processus d'élaboration et de prise de décisions liés aux programmes et aux politiques du gouvernement. » (Discours du trône de 2013 du  Nouveau-Brunswick)

L'analyse comparative selon le genre est un processus fondé sur les preuves en vertu duquel il faut évaluer les politiques, les programmes, les mesures législatives et les initiatives afin de déterminer leur incidence sur les femmes et les hommes en tenant compte de leurs différences.

 

AVIS

Bourse égalité femme-homme – Est-ce que vous allez au CCNB ou à un collège privé cet automne. Si oui, n'oubliez pas de soumettre votre candidature pour la Bourse égalité femme-homme !

La date limite pour soumettre votre demande est le 30 juin 2014 pour les programmes commençant cet automne. La bourse est d'une valeur de 2500$ par année. Pour plus d'information, veuillez visiter : http://bit.ly/RQg9sf

INVITATION : Assemblée générale annuelle et soirée reconnaissances du Carrefour pour femmes. Le jeudi 26 juin 2014 de 18h à 20h, La Teraz, Moncton (N.-B.) (154 rue Church). Mme Huberte Gautreau, militante et féministe très impliquée dans le mouvement de l'équité salariale sera la conférencière de la soirée. Veuillez confirmer votre présence d'ici le 20 juin 2014 avec : Jenny Haché, Assistante à la directrice générale, (506) 857-8028, [email protected]

Le logo et les panélistes de renom du Sommet des femmes sont dévoilés! Le Congrès mondial acadien 2014 et le Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick (RFNB) ont dévoilé le logo et les panélistes de renom du prochain Sommet des femmes qui se déroulera lors des festivités de 2014 en Acadie des terres et forêts. Rappelons-nous que le Sommet des femmes aura lieu du 17 au 19 août 2014 à Edmundston. Pour plus d'information ou demande d'entrevue, veuillez communiquer avec : France Le Moignan, coordinatrice des communications CMA 2014 - [email protected] ; Tél.:(506) 737-2014 poste 5436 ou Sylvie Morin, présidente du RFNB, [email protected] ; Tél. : (506) 737-5050 poste 5130.

Le Sommet des femmes est un évènement rassembleur d'envergure internationale, organisé pour et par les femmes afin de débattre des questions et des enjeux qui les préoccupent. L'évènement débutera le 17 août en soirée avec une conférence de marque où nos panélistes, Lyse Doucet, Alexa Conradi et Aldéa Landry, discuteront sur le thème de la représentation et la participation des femmes aux processus de prise de décision. Dans un environnement animé et énergisant, des grandes jasettes, ateliers, table rondes, conférences, cercles de la parole et un World Café seront offerts les 18 et 19 août. Pour clôturer l'évènement, elles seront invitées à participer à une marche en direction de la Première Nation Malécite du Madawaska, une communauté où le Conseil de bande est composé uniquement de femmes. Vous êtes invitées à vous rendre sur la page suivante pour obtenir plus de renseignements et pour vous inscrire : http://bit.ly/1n3o5Q2

Ateliers de croissance personnelle VERS DES RELATIONS SAINES - St-Basile (N.-B.), septembre 2014 . Ces ateliers s'adressent à toutes les femmes qui désirent des outils et une dose de motivation nécessaires pour vivre des relations saines. Thèmes : valoriser les relations saines; apporter soutien; revaloriser l'estime de soi; apprendre à mieux communiquer et s'affirmer; informer sur les ressources de la communauté. Un atelier par semaine le lundi de 18 h 30 à 21 h, pour 8 semaines consécutives. Lieu : 12 rue Martin, Édifice Maillet, 3ème étage, St-Basile NB. Inscription obligatoire à l'avance 506-263-0888 ou 506-739-0899

Subventions pour la prévention du crime dans les collectivités accepte actuellement les demandes de financement – L'Association de la prévention du crime du Nouveau-Brunswick accepte actuellement les demandes de financement sous le Programme de subvention de projet local de prévention du crime. Cette possibilité de financement revêt la forme d'une subvention pouvant atteindre 1000$ offert aux collectivités admissibles et visant des initiatives de prévention du crime au Nouveau-Brunswick. Prière de communiquer avec [email protected] pour des renseignements supplémentaires et pour obtenir un formulaire de demande.

 

Les taux de suicides

Les taux de suicides sont bien plus élevés chez les hommes et les garçons - cinq fois l'incidence chez les femmes et les filles en 2009 au Nouveau-Brunswick – mais plus de filles et de femmes tentent de se suicider, et ce dans presque tous les groupes d'âge. Parmi les jeunes de 15 à 19 ans, le taux d'hospitalisation suite à une tentative de suicide est trois fois plus élevé chez les filles que chez les garçons – 149 cas pour 100 000 filles, comparativement à 49 pour 100 000 garçons.

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1 CANADIEN SUR 4 DÉJÀ ESSAYÉ D'AIDER UNE AIME À QUITTER UN CONJOINT VIOLENT

Les Canadiennes se tournent en premier vers leurs amis pour obtenir de l'aide, mais nombre d'entre elles tentent de résoudre elles-mêmes la situation de violence.

Toronto, ON – Le 30 avril 2014 – Selon une nouvelle étude réalisée par la Fondation canadienne des femmes, 1 Canadien sur 4 a déjà essayé d'aider une amie à quitter un conjoint violent. La violence exercée contre les femmes est répandue dans la société canadienne, et les femmes sont plus à risque d'être violentées par une personne qu'elles connaissent, comme leur partenaire intime. 

Selon l'étude, les Canadiennes sont plus susceptibles de se tourner initialement vers un ami pour rapporter des situations de violence verbale (20 %) et de violence émotionnelle (22 %). Toutefois, un pourcentage relativement équivalent de répondantes chercherait à résoudre les situations de violence verbale et émotionnelle sans aide extérieure (28 % et 21 %, respectivement), et 10 % de femmes tenteraient de résoudre la violence physique ou sexuelle par elles-mêmes. 

« Le fait qu'un quart des Canadiens ont essayé d'aider une amie à quitter un partenaire violent montre à quel point la violence est répandue dans ce pays, dit Anuradha Dugal, directrice, Prévention de la violence à la Fondation canadienne des femmes. Les situations marquées par la violence peuvent inciter la victime à douter d'elle-même, à se culpabiliser et à se sentir humiliée, mais toute tentative de résoudre la situation par elle-même peut entraîner une grave menace à sa sécurité et à son bien-être. »

Même si les Canadiennes sont susceptibles de rapporter la violence à leurs amis, 13 % des répondantes ne sont pas certaines que leurs amis les croiraient. Les Canadiennes craignent aussi que leur famille (16 %), leur médecin (15 %), la police ou d'autres figures d'autorité (28 %) ne prennent pas leurs déclarations au sérieux.  http://bit.ly/1iBIkau

 

LES INTERVENTIONS EN TRAVAIL D'APPROCHE : ÇA PASSE OU ÇA CASSE

Services à la famille Népisiguit, avec la collaboration du Service d'approche pour femmes et familles victimes de violence, le Centre des Jeunes de Bathurst et La Maison de Passage, ont organisé une séance de formation d'une demi-journée pour intervenant.e.s de première ligne intitulée Ça passe ou ça casse.

Cette formation fut rendu possible grâce au Bureau du conseil exécutif / Direction de l'égalité des femmes avec l'appui du Ministère du Développement social permettant d'offrir la formation sans frais.

 


Suite à une invitation de la part de Soleil Thériault, travailleuse d'approche, pour souligner la présence des silhouettes silencieuses qui furent en exposition au Centre des jeunes, l'idée est venue d'offrir une formation sur les perceptions des gens travaillant de près avec des familles vivant des situations de violence familiale et entre partenaires intimes et l'impact de ces perceptions sur nos interventions.

Cinquante personnes se sont présentées au Centre des jeunes de Bathurst pour cette séance qui a eu lieu le 26 mai dernier. Elle fut co-animée par Richard Gallant et Wendy Pinet, deux travailleurs sociaux chez Services à la famille Népisiguit inc. Gallant a plus de 25 ans d'expérience auprès des familles aux prises avec la violence familiale et conjugale. En plus d'offrir de l'aide auprès des hommes qui sont violents et contrôlant envers leur conjointe, il agit comme expert conseil sur la problématique de la violence. Pinet a débuté avec Services à la famille Népisiguit en avril 2012. Son intérêt d'aider les femmes vivant de la violence s'est vite transformé en counselling individuelle et de groupes auprès de cette clientèle en plus d'entreprendre des initiatives communautaires connexes. Ensemble, elle et Richard ont transmis à la fois l'expérience avec des histoires vécues et de la nouveauté/créativité ce qui fut apprécié des participantes sur place. Les sujets discutés tournaient autour des réflexions sur pourquoi les femmes restent ou retournent dans des relations abusives ainsi que l'importance de s'auto-évaluer quant à nos pensées, nos réactions et nos attitudes vis-à-vis la problématique de la violence. Il fut aussi question du rôle de la société et l'image, souvent négative, qu'elle projette sur la femme. Tout ça a un effet sur nos perceptions pouvant mener au contrôle et à la victimisation.

Parmi les activités dans le cadre de cette séance, il y a eu des exercices de mise en situation et l'écoute d'un appel 911 d'un enfant avec discussion/debriefing par la suite. Cette formation a également fourni une occasion de réseautage entre les participantes. Les gens sur place représentaient à la fois les agences gouvernementales et les organismes à but non-lucratifs. Entre autres, il a eu des gens de la Santé mentale, la Santé publique, Développement social, Famille et petite enfance Nord-Est, le Centre des jeunes de Bathurst et la Maison de Passage.

Nous avons vite découvert que d'autres séances de ce genre sont nécessaires dans la communauté. Des efforts seront faits pour répondre aux besoins des intervenantes de première ligne. Nous espérons aussi effectuer des séances aux corps policiers au courant de la prochaine année. http://sfnepisiguit.ca/ http://www.bathurstyouthcentre.ca/ http://www.silentwitness.ca/main-f.asp

 

"HYPER-MASCULINITÉ" HÉRITÉE DE LA GUERRE : DES VIOLS MÊME EN TEMPS DE PAIX AU LIBERIA

La guerre civile au Liberia a pris fin en 2003, faisant de nombreuses victimes de viols. Plus de dix ans après, les agressions sexuelles se perpétuent sur les jeunes filles. Selon un rapport publié par l'ODI (Institut pour le développement en outre-mer), le pays continue d'enregistrer un des taux de criminalité sexuelle parmi les plus élevés du monde, à cause d'une culture de "l'hyper-masculinité" héritée de la guerre. Une étude édifiante, alors que se déroulait du 10 au 13 juin 2014 à Londres, un sommet sans précédent avec des représentants de plus de 150 pays, afin de débattre sur le sujet des violences sexuelles pendant les conflits.

Au Liberia, une large majorité de femmes (entre 61% et 77%) ont subi des violences sexuelles durant la guerre civile de 1999 à 2003, selon les chiffres du rapport de l'ODI.  Ces mères, voient aujourd'hui leurs filles confrontées elles aussi aux viols, malgré la fin des combats et la reconstruction du pays.
A l'arrivée d'Ellen Johnson Sirleaf à la présidence en 2006, la dirigeante lance des programmes d'aide en faveur des femmes. Mais l'étude révèle que malgré ces efforts, la vie des femmes dans les campagnes s'améliore très, trop, lentement. Elles sont encore largement victimes de la violence des hommes.
Le viol au Liberia reste d'ailleurs le crime le plus souvent signalé. Les jeunes adolescentes sont généralement prises pour cibles, et presque 40% des responsables sont des hommes adultes, connus des victimes. Deux tiers des victimes l'an dernier étaient aussi des enfants, selon le gouvernement.

L'étude menée par l'ODI, intitulée " la fin du viol comme arme de guerre ", tente d'expliquer les raisons de la perpétuation de ces agressions sexuelles. " La guerre peut créer un environnement dans lequel … http://bit.ly/1nDgqKj

 

LA LONGUE VIE DE MADEMOISELLE
Mademoiselle, l'évolution d'un titre de civilité

Le terme d'adresse Mademoiselle est attesté depuis le XVe siècle (la forme simple domnizelle, c'est-à-dire demoi­selle, se trouve déjà dans un texte du IXe siècle). Depuis, il a connu des transfor­mations d'usage (et de signification) impor­tantes. Au début, Mademoiselle s'utilisait, comme Madame, pour les femmes nobles. Mademoiselle était d'abord le titre de la fille ainée des frères ou oncles du roi, puis il s'est également utilisé pour des filles ou femmes de gentilshommes non titrés. Jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, le sens de Mademoiselle s'est élargi et a fini par convenir pour toute jeune fille noble ou femme mariée de la petite noblesse.

Après la Révolution française, le sens de « femme non mariée », en usage depuis la fin du XVIIe siècle, s'est généralisé, tandis que Madame a fini par désigner la femme mariée (et maitresse de maison).

Changement de langue spontané et changement de langue dirigé

Le système des termes d'adresse montre bien l'interdépendance entre l'évolution linguistique et les changements aux niveaux social et politique. Il s'avère que le change­ment linguistique n'est qu'en partie spontané, et qu'il est aussi sujet à des contraintes de type social et administratif, car il est, dans ce cas, en lien avec le nom des citoyennes et citoyens ainsi que leur statut civil, marqué symboliquement par le titre de civilité utilisé dans la correspondance officielle.

Il n'est dès lors pas surprenant que l'asymé­trie entre le seul terme d'adresse à disposi­tion pour les hommes (Monsieur) et la double forme Madame et Mademoiselle soit sujette à des questions politiques quant à l'usage de ces termes dans les administrations. Comme dans d'autres pays, l'utilisation de Mademoiselle a donné lieu, en France, à plu­sieurs circulaires et réponses ministérielles à des questions écrites de parlementaires… http://bit.ly/1l6Ofik



EN FIN DE COMPTE

Je n'ai jamais réussi à définir le féminisme. Tout ce que je sais, c'est que les gens me traitent de féministe chaque fois que mon comportement ne permet plus de me confondre avec un paillasson – Rebecca West

 

 

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Women Femmes NB
est publié deux fois par mois par la Direction de l'égalité des femmes du gouvernement provincial. Il diffuse des nouvelles sur les questions d’égalité - des événements, des rapports, des initiatives et des renseignements nous provenant des groupes de femmes, des gouvernements, des universités et autres.

**Les textes fournis par des organismes non gouvernementaux seront publiés dans la ou les langues dans lesquelles ils nous sont fournis.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     

 

Women Femmes NB
June 25, 2014

 

 

IN THIS ISSUE:

  • WHAT'S NEW?
  • NOTICES
  • DID YOU KNOW?
  • 1 IN 4 CANADIANS HAVE TRIED TO HELP A FRIEND LEAVE AN ABUSIVE PARTNER
  • HIT OR MISS INTERVENTIONS IN DOMESTIC VIOLENCE WORK
  • ENDING VIOLENCE AGAINST WOMEN AND GIRLS: 25 POLICIES NOMINATED FOR FUTURE POLICY AWARD 2014

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WHAT'S NEW?

In policy development and decision making there are often gender implications, which can influence and impact women and men differently. Effective public policy provides greater opportunities for economic and social development for all.

To ensure the diverse needs of New Brunswickers are met , the Province of New Brunswick launched internal Gender-Based Analysis (GBA) tools and resources in May.

“Your government is taking a leadership role in promoting equality between women and men and boys and girls in our province. Early in 2014, a cross-government initiative regarding the use of gender-based analysis in the development and decision-making processes of government programs and policies will be launched.” (Speech from the Throne 2013, Province of New Brunswick) .

GBA is an evidence-based process where policies, programs, legislation, and/or initiatives are assessed to determine their impact on women and men in relation to their differences.

 

NOTICES

Gender equality scholarship – Are you attending a non-traditional program at NBCC or a private college this fall? If so, get your applications in for the Gender Equality Scholarship!
The application deadline is June 30th, 2014 for those programs starting in the fall. The scholarships are valued at up to $2500 per year. For more information or to apply, please visit http://bit.ly/P2HtS1

INVITATION: Crossroads for Women's Annual General Meeting and Recognition Event. Thursday June 26th 2014 , 6:00pm to 8:00pm, La Teraz, Moncton, NB (154 Church Street). Mme Huberte Gautreau, one of the founders of Crossroads for Women and a militant for women's rights, presently involved in the pay equity movement, will be the evening's guest speaker. Please confirm your attendance prior to June 20th with: Jenny Haché, Executive Assistant (506) 857-8028, [email protected] .

First NB Women in Engineering and Geoscience (NBWIEG) Wine Night networking event Please join us Thursday, July 10th, 6pm at Corked Wine Bar, 83 Regent Street, Fredericton. Meet other female and male engineers and geoscientists (and NBWIEG supporters) in your area in a casual "speed networking" format.  Feel free to pass on this invitation to your fellow engineering and geoscience colleagues. RSVP [email protected] or [email protected].

UNB Computer Science will once again be offering a day camp designed to offer middle school girls a hands-on learning experience about computer science and explore the fun and exciting world of Internet security. This year's Cyber Girlz Camp will be held August 18-22. Please pass on the information to anyone you think might be interested. For more information, please contact Natalia Stakhanova at [email protected] or 451-6967.

Sexual Assault Crisis Intervention Training: September 15th - September 19th, 2014 in Fredericton, NB.   SACIT is a five-day training session for New Brunswick service providers working with people affected by sexual assault. Offered by the Fredericton Sexual Assault Crisis Centre, it covers everything from how to handle disclosures to medical and legal information to counselling a survivor, sexual assault in relationships and much, much more. Cost is $300 for government and private organizations and $200 for non-profit organizations. For more information or to request a registration form, please contact Jenn Richard by email at [email protected] or by phone at 506.452.6986.

Save the date! October 8th and 9th 2014: 2-day workshop for professionals working with men recovering from sexual child abuse Mike Lew - author of “Victims no longer: the Classic Guide for Men Recovering from Sexual Child Abuse”. Halifax, Nova Scotia – exact location TBA. Who should attend? Counsellors, social workers, family therapists, psychologists, workers in men's health, the armed forces and justice, clergy, crisis phone counsellors, students and academics. Also, October 10th : 1-day workshop for men who are recovering. For more info: Wendy Keen, New Start Counselling at 902-423-4675 ext. 2 or [email protected] .

 

Suicide rates

Completed suicide rates are far higher among men and boys – five times higher than for females in New Brunswick in 2009 - but females attempt suicide significantly more often than males, in the great majority of age groups. Among 15 to 19 year olds, the rate of girls being hospitalized following a suicide attempt is three times that of males – 149 per 100,000 girls compared to 49 per 100,000 boys of that age group.

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1 IN 4 CANADIANS HAVE TRIED TO HELP A FRIEND LEAVE AN ABUSIVE PARTNER

Canadians would first look to a friend for help, although many would attempt to resolve abuse on their own.

A new study from the Canadian Women's Foundation reveals that 1 in 4 Canadians have tried to help a friend leave an abusive partner. Violence against women is prevalent in Canadian society, with women at higher risk of violent victimization by someone they know, like an intimate partner.

According to the survey, Canadians are most likely to turn to a friend first to report situations of verbal abuse (20 per cent) and emotional abuse (22 per cent). However, a relatively equal amount of respondents expect to resolve verbal and emotional abuse without outside help (28 per cent vs. 21 per cent, respectively), and a full 10 per cent would expect to resolve physical or sexual abuse on their own.  

"The fact that a quarter of Canadians have tried to help a friend leave an abusive partner underscores the prevalence of violence in this country," says Anuradha Dugal, Director of Violence Prevention, Canadian Women's Foundation. "Abusive situations can foster feelings of self-doubt, self-blame and humiliation, but attempting to resolve it alone can pose a great threat to the safety and well-being of the victim."

Although Canadians are likely to report abuse to their friends, 13 per cent of respondents do not have confidence that their friends would believe them. Canadians also worry that their family (16 per cent), doctors (15 per cent) and police or other authorities (28 per cent) would not take their reports seriously.

… If you know a woman in an abusive situation, the Canadian Women's Foundation offers the following ways that you can help:   http://bit.ly/1pDNZvE

 

HIT OR MISS INTERVENTIONS IN DOMESTIC VIOLENCE WORK

Nepisiguit Family Services, with the cooperation of the Domestic Violence Outreach Program, Bathurst Youth Centre, and Maison de Passage House Inc., organized a half-day training session for front-line workers entitled Hit or miss interventions .

This training was made possible and was offered free of charge through the Executive Council Office / Women's Equality Branch with the support of the Department of Social Development.

Through an invitation from Soleil Thériault, outreach worker, to mark the presence of the Silent Witness silhouettes on exhibit at the Youth Centre, the idea came to offer training on the perceptions of people working closely with families experiencing family violence and intimate partner violence and the impact of those perceptions on our interventions.

A total of 50 people came to the Bathurst Youth Centre for this session, which took place on May 26, 2014. It was co-facilitated by Richard Gallant and Wendy Pinet, two social workers with Nepisiguit Family Services Inc. Gallant has over 25 years of experience with families dealing with domestic violence.

 

In addition to offering assistance to men who are violent and controlling with their spouse, he acts as a consultant on the problem of violence. Pinet began with Nepisiguit Family Services in April 2012. Her interest in helping women living with violence soon evolved into individual and group counselling with this clientele and undertaking related community initiatives. Together, she and Richard conveyed their experience with real-life cases and new and creative thinking, which was appreciated by the participants. The topics discussed revolved around reflections on why women stay in or return to abusive relationships and the importance of self-evaluation in relation to our thoughts, reactions, and attitudes about the problem of violence. The role of society and the often negative image it projects on women was also discussed. All of that has an effect on our perceptions, and could lead to control and victimization.

Among the activities in the context of this session were role-playing exercises and listening to a 911 call with a child followed by a discussion and debriefing. The training also provided an opportunity for networking between participants, who represented government agencies and non-profit organizations. There were people from Mental Health, Public Health, Social Development, Famille et petite enfance Nord-Est , the Bathurst Youth Centre, and Maison de Passage House .

We soon discovered that other sessions like this are needed in the community. Efforts will be made to meet the needs of front-line workers. We also hope to be able to offer sessions for police forces in the coming year. http://sfnepisiguit.ca/ http://www.bathurstyouthcentre.ca/ http://www.silentwitness.ca/main-e.asp

 

ENDING VIOLENCE AGAINST WOMEN AND GIRLS: 25 POLICIES NOMINATED FOR FUTURE POLICY AWARD 2014

World Future Council partners with the Inter-Parliamentary Union (IPU) and UN Women to highlight solutions to a global human rights emergency

Twenty-five policies on ending violence against women and girls have been nominated for the Future Policy Award 2014. This was announced by the World Future Council, the Inter-Parliamentary Union and UN Women today. Violence against women and girls is one of the most pervasive and predominant forms of human rights abuses in the world.

One in three women worldwide will suffer sexual and/or physical violence in her lifetime. A human rights violation of pandemic proportions, the pervasive violence also impedes economic development and poverty reduction by limiting women's choices and their ability to act. Tackling violence against women on all levels is, therefore, a necessary prerequisite for gender equality and sustainable development.

The 25 nominated policies competing for the prestigious prize represent all continents. The nominations were put forward by international organizations, NGOs and noted experts in the field. They represent the wide range of policy dimensions: from comprehensive international treaties and national action plans to measures that ensure coordinated support of women who report an attack and press charges. The nominated laws and policies will be analyzed in a thorough evaluation process and assessed by a high-level jury.

The winners will be announced by the World Future Council in October 2014, in partnership with the Inter-Parliamentary Union and UN Women. For the first time, the award ceremony will be held at the Inter-Parliamentary Union's Assembly in Geneva, for which more than 1,200 delegates from among 164 national Parliaments will gather.

The Future Policy Award is the first and only award that celebrates policies rather than people on an international level. http://bit.ly/UFcaQo http://bit.ly/1fOXm48

 

IN PARTING

“I hate to hear you talk about all women as if they were fine ladies instead of rational creatures…”

-  Jane Austen

 

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Women Femmes NB
is sent out twice a month by the provincial government Women's Equality Branch. It provides news related to equality issues, including events, studies, initiatives and information from women's groups, governments, universities, etc.

**Text from non-governmental sources will be published in the language(s) in which it is provided.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     

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