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………………………………………………………………….…………… LE GALA DES MÉTIERS ET TECHNOLOGIE POUR FILLES VISITE MONCTON LE 8 MAI Il y aura un Gala des métiers et technologies pour filles le 8 mai de 17h30 à 20h à pour toutes les filles d'école secondaire de la région de Moncton. L'événement est gratuit et une des filles qui sera à la soirée gagnera un iPad.
Le Gala des métiers et technologies pour filles offre un environnement positif dans lequel les jeunes filles ont l'occasion d'entendre des mentors discuter des récompenses et des défis associées au cheminement de carrière qu'elles ont choisi, et d'établir des contacts avec des mentors de leur collectivité. Les mentors conseillent les élèves, les guident et les inspirent en leur faisant part de leur expérience. Ces galas autonomisent les participantes et les renseignent sur divers choix de carrière qui leur sont accessibles, dont bon nombre dans des secteurs non-traditionnels. Les filles peuvent s'inscrire avec Annick à la Direction de l'égalité des femmes [email protected] 453-6464, ou en ligne au lien ci-dessous : http://bit.ly/Qa9FDz Toutes questions peuvent être dirigées à Annick Noël à [email protected] ou au 453-6464
AVIS «Les femmes au pouvoir : la réalité de l’égalité ?» Colloque sur le leadership pour les femmes professionnelles – le 1er mai 2014, de 18 h 30 à 21 h et le 2 mai 2014 de 8 h à 16 h, A l'Université de Moncton. Par cette activité, nous cherchons à contribuer au développement du leadership féminin, nous souhaitons animer la discussion et travailler à la mise en śuvre d’un plan d’action néobrunswickois visant à augmenter le nombre et l’influence des femmes dans toutes les professions. Le programme du colloque et de plus amples renseignements vous seront communiqués sous peu. [email protected]. Pour consulter le programme, cliquez ici. La 27e Conférence annuelle sur la prévention du crime de l'Atlantique – du mercredi 4 juin au vendredi 6 juin 2014 au Future Inns à Moncton (40, boulevard Lady Ada). Thèmes : les jeunes à risque, les contrevenants chroniques, la violence conjugale et la violence de la part d'un partenaire intime, dans le cadre des thèmes globaux des Premières Nations, de la santé mentale et de la toxicomanie. Public cible: Les travailleurs de première ligne et les décideurs en matière de prévention du crime du Canada atlantique. Visitez le site Web: www.acc-cca.org pour de plus amples renseignements et pour s'inscrire (frais après le 15 avril : 275$). Diriger avec IMPACT – Voici une occasion exceptionnelle pour faire la lumière sur votre véritable potentiel de leadership et prendre conscience de tout votre pouvoir, à travers vos forces, vos valeurs, vos motivations, vos désirs et vos rêves. Le 12 juin (13h à 21h) et le 13 juin (9h à 16h) à la Maison Tait House 293, rue Main, Shediac. Pour en savoir plus contacter: Diane Allain [email protected] 506.743-1900 Prospérité économique : le succès à la portée des femmes - Appel de propositions – Condition féminine Canada lance un appel de propositions pour des projets visant à améliorer la prospérité économique des femmes. Si vous décidez de présenter un projet, veuillez noter que celui-ci devra comprendre un certain nombre d'éléments prédéterminés, éléments que vous aurez soin de décrire dans votre proposition. Condition féminine Canada accepte seulement les demandes faites en ligne. La date limite pour présenter une demande dans le cadre de cet appel de propositions est le 13 juin 2014 à 23 h 59, heure avancée du Pacifique . Pour de plus amples renseignements http://bit.ly/1tVmCReLe logo et les panélistes de renom du Sommet des femmes sont dévoilés! - Le Congrès mondial acadien 2014 et le Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick (RFNB) ont dévoilé le logo et les panélistes de renom du prochain Sommet des femmes qui se déroulera lors des festivités de 2014 en Acadie des terres et forêts. Rappelons-nous que le Sommet des femmes aura lieu du 17 au 19 août 2014 à Edmundston. Pour plus d'information ou demande d'entrevue, veuillez communiquer avec : France Le Moignan, coordinatrice des communications CMA 2014 - [email protected] ; Tél.:(506) 737-2014 poste 5436 Sylvie Morin, présidente du RFNB, [email protected] ; Tél. : (506) 737-5050 poste 5130. Femmes de mérite, YWCA de Moncton – demande de nominations - Ces prix sont en reconnaissance de femmes de la communauté du Grand Moncton qui, de leurs propres initiatives, habiletés et efforts, ont réussi des accomplissements exemplaires dans leurs domaines et qui, en raison de la réalisation de leurs buts, sont devenues de véritables citoyennes modèles! Pour plus d'information: http://bit.ly/1ixPpH8 Subventions pour la prévention du crime dans les collectivités accepte actuellement les demandes de financement – L'Association de la prévention du crime du Nouveau-Brunswick accepte actuellement les demandes de financement sous le Programme de subvention de projet local de prévention du crime. Cette possibilité de financement revêt la forme d'une subvention pouvant atteindre 1000 $ offert aux collectivités admissibles et visant des initiatives de prévention du crime au Nouveau-Brunswick. Prière de communiquer avec [email protected] pour des renseignements supplémentaires et pour obtenir un formulaire de demande. Appel de présentations : conférence nationale sur la violence conjugale (Fredericton, le 20-22 octobre 2014) – L'Observatoire canadien sur les mesures judiciaires prises pour contrer la violence conjugale, le Centre Muriel McQueen Fergusson et le ministère de la Sécurité publique du N.-B. acceptent maintenant des propositions de présentation (en français et en anglais) pour la conférence nationale sous le thème Approches intégrées de la violence conjugale: apprendre et innover ensemble. La conférence se tiendra du 20 au 22 octobre 2014 à l'université du Nouveau-Brunswick au centre de conférence Wu à Fredericton. Veuillez communiquer avec Christine Stewart à [email protected] ou au (506) 458-7457 ou cliquez sur http://bit.ly/1fJrlfD pour plus de renseignements, y compris les sous-thèmes. Date limite pour les propositions : le 2 juin 2014.
ENCADRER LA VIOLENCE FAITE AUX FEMMES Il y a 34 ans, un film intitulé Why Women Stay [pourquoi les femmes restent] prenait l'affiche (au sein de relations marquées par la violence). En 2014, la question demeure pertinente, car la violence existe toujours. Pourquoi fait-on peser sur les femmes cette responsabilité (c.-à-d., celle de partir)? Cela a-t-il contribué à mettre fin à la violence? Ce n'est certainement pas le cas. Au cours des années, des lois ont été adoptées, criminalisant le fait d'user de la violence physique envers sa conjointe. Des services ont été mis en place et sont offerts aux femmes victimes de violence par leur partenaire, et à celles qui tentent de quitter une situation de violence. Nous comprenons mieux « pourquoi les femmes restent », c'est-à-dire quels sont les innombrables obstacles qui les empêchent de partir. Un récent article de la Fondation canadienne des femmes mentionnait (en anglais seulement [ Traduction ] ) : « Trop de gens croient que, si une femme se trouve dans une relation de violence, elle fait le choix d'y rester, et elle a le pouvoir de mettre fin aux mauvais traitements en s'en allant... Des études de la Fondation canadienne des femmes montrent que 67 pour cent d'entre nous connaissent une femme victime de violence... Elle reste peut-être parce qu'elle craint pour sa vie ou celle de ses enfants, parce qu'il l'a menacée de ce qu'il pourrait faire si elle osait essayer de partir… Elle reste peut-être parce qu'elle ne sait pas où aller… Elle reste peut-être parce que tout le monde pense que son agresseur est un « bon gars » et qu'elle ressent de la honte et de l'embarras… Elle reste peut-être parce qu'elle est prête à sacrifier sa propre sécurité afin que ses enfants n'aient pas à grandir dans la pauvreté ou sans un père… Elle reste peut-être parce qu'elle a grandi dans une famille où les mauvais traitements étaient chose courante… Elle reste peut-être parce qu'elle l'aime et qu'il semble regretter ses gestes de violence… Elle reste peut-être parce qu'elle se blâme... Il est temps d'arrêter de blâmer les victimes. » Non seulement le fait de poser la question : « Pourquoi reste-t-elle? » place-t-il la responsabilité (et le blâme) sur la victime, mais cela perpétue le mythe selon lequel les femmes ont le pouvoir de mettre fin à la violence. Pourquoi ne demandons-nous pas plutôt aux hommes pourquoi ils commettent des actes de violence et pourquoi ils n'y mettent pas fin? Voici à cet égard un dur rappel de la part d'une élève de 11 e année (en anglais seulement [ Traduction ] ) : « En 2011, Statistique Canada a révélé que les femmes sont 11 fois plus susceptibles que les hommes d'être victimes d'infractions à caractère sexuel… Également, en moyenne, tous les six jours, une femme est tuée par son partenaire intime... Nous sommes en 2014, et 90 pour cent des agressions à caractère sexuel ne sont pas dénoncées. Pourquoi? Parce que les femmes craignent d'être blâmées pour avoir été violées à cause de la longueur de leur jupe ou de leur consommation d'alcool, et de se faire dire qu'elles l'ont « bien mérité ». Nous sommes en 2014, et des femmes sont coincées dans des relations de violence et, au lieu de pointer les agresseurs du doigt, nous disons des victimes qu'elles sont faibles de rester dans ces relations… Qu'allons-nous faire à ce propos? Écarter la question et la considérer comme étant un enjeu qui ne concerne que les femmes? Nous avons une bonne idée des raisons pour lesquelles les femmes ne mettent pas un terme à une relation de violence. N'est-il pas temps de mieux comprendre pourquoi se perpétue la violence des hommes? http://bit.ly/1j97riy
Les observatoires du genre : mesurer les inégalités pour influencer l'agenda post-2015 Lors de la 58è Commission sur le Statut des Femmes (CSW58) à New-York, Genre en Action est intervenue pour insister sur le besoin fondamental de redevabilité des Etats en matière d'égalité de genre. Réuni-e-s autour d'observatoires, la société civile a un rôle clef à jouer pour demander des comptes aux gouvernements et influencer l'agenda post-2015. En 40 ans d'engagement pour les droits des femmes et l'égalité : quelle mesure des avancées et des inégalités ? Sans citer toutes les étapes, depuis 40 ans il faut noter que les Etats et gouvernements n'ont cessé de s'engager, de manière progressive, en faveur des droits des femmes et de l'égalité de genre. Mais quand il s'agit de faire le bilan de ces engagements et d'en mesurer les résultats, la tâche devient difficile. Un premier constat est que le bilan des OMD est mitigé. Certaines avancées ont été réalisées, comme dans le domaine de l'accès à l'éducation primaire, mais d'autres résultats, notamment ceux qui touchent aux droits des femmes et à l'égalité de genre, sont beaucoup plus sensibles, en partie de par la difficulté de les mesurer. Aujourd'hui, nous pouvons dire que nous sommes incapables d'avoir une bonne visibilité sur les progrès réalisés et les obstacles persistants, et c'est une problématique qui concerne tout particulièrement les pays francophones. Bien sûr, les Etats sont responsables d'assurer le suivi de leurs engagements. Des cadres internationaux, régionaux et nationaux existent: les rapports sur la mise en śuvre de la CEDEF, les marqueurs de l'OCDE … Mais ces dispositifs ne sont pas contraignants, et pour certains sont renseignés de manière variable et imparfaite. Suite : http://bit.ly/PKYT5M
UNE NOUVELLE ÉTUDE RÉVÈLE LA MEILLEURE ET LA PIRE DES VILLES OÙ VIVRE POUR LES FEMMES AU CANADALe 23 avril, 2014 OTTAWA – Une nouvelle étude publiée aujourd'hui par le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) révèle les noms des meilleures et des pires villes où vivre pour les femmes au Canada. Selon cette étude, Québec est la meilleure et Edmonton la pire ville pour les femmes.L'étude, par Kate McInturff, chargée de recherche au CCPA, assigne un rang aux vingt plus grandes régions métropolitaines du pays en se basant sur une comparaison entre la situation des hommes et celle des femmes dans cinq domaines : sécurité économique, leadership, santé, sécurité personnelle et éducation. « Le Canada a fait de grands progrès pour s'assurer que les hommes et les femmes aient également accès aux soins de santé et à l'éducation, mais il en est autrement dans le domaine de la sécurité personnelle et des occasions d'avancement professionnel », remarque Kate McInturff. Voici quelques résultats de l'étude:
La statue de la Liberté n'a plus besoin d'être la seule femme à symboliser la démocratie dans notre grande ville – Gloria Steinem |
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[email protected] Women Femmes NB **Les textes fournis par des organismes non gouvernementaux seront publiés dans la ou les langues dans lesquelles ils nous sont fournis.
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GIRLS VIEW SEXUAL VIOLENCE AS NORMAL A new study published in a forthcoming issue of Gender & Society finds that girls and young women rarely report incidents of sexual violence because they view such incidents as "normal." These findings are at once supremely depressing and remarkably unsurprising. The study, "Normalizing Sexual Violence: Young Women Account for Harassment and Abuse," analyzed forensic interviews conducted by the Children's Advocacy Center with 100 youths between the ages of three and seventeen who may have been sexually assaulted. It finds that "objectification, sexual harassment, and abuse appear to be part of the fabric of young women's lives." Furthermore, these things are so ingrained into young women's quotidian experiences that they didn't see them as particularly unacceptable or inappropriate: Male power and privilege and female acquiescence were reified in descriptions of "routine" and "normal" sexualized interactions... Assaultive behaviors were often justified, especially when characterized as indiscriminate. For example, Patricia (age 13, white) told the interviewer: "They grab you, touch your butt and try to, like, touch you in the front, and run away, but it's okay, I mean... I never think it's a big thing because they do it to everyone." Referring to boys at school, Patricia described unwelcome touching and grabbing as normal, commonplace behaviors. According to the research, it's also common for young women to trivialize their experiences of sexual harassment or assault; to see such behavior as just a part of regular masculinity (having internalized society's old favorite excuse, that "boys will be boys" garbage); and to define "real" assault according to incredibly narrow parameters and "various conditions that were rarely met," i.e., forcible stranger rape… Furthermore, they've internalized the sexist notion that men are naturally sexually predatory… http://bit.ly/1iVioAj The banality of sexual assault is what makes it so oppressive. Full article: http://bit.ly/1ilKFne
NOTICES
"Women in Power: the Measure of Equality?" New Brunswick Leadership Conference for Professional Women – May 1st, 2014 from 6:30 pm to 9:00 pm and on May 2nd, 2014 from 8:00 am to 4:00 pm at the Université de Moncton. Through this event, we seek to contribute to the development of women’s leadership. We wish to engage women and collaborate on the development and implementation of a New Brunswick action plan to increase the number and influence of women in all professions. For more information please visit: http://bit.ly/1h36CTl or email: [email protected]. Support to Single Parents daytime and evening workshops, Moncton – (ALL PARENTS WELCOME! Not just for single parents) For program information, registration and/or subsidies call Debbie at (506) 858-1303 Ext 3302 or visit http://www.supporttosingleparents.ca/home.html. January 20th to May 27th. "A Day in Her Shoes" Fundraising event – May 7, 2014 at 6pm, Market Square Atrium, Saint John. Tickets are $40. Special guest: Helen MacDonnell. For more information, contact 633-1705 or www.nb.cmha.caGet Out on a Limb, Step Up Your Leadership - Series for Women – Hear a powerful inspirational speaker, build your knowledge of the positive impacts of mentoring, learn how mentoring relationships can drive your personal success! May 6th, 2014 from 1:00 pm to 5:00 pm, NBCC St Andrews. To register, contact Sharon 506-632-9673 [email protected]Bold Goals, Step Up Your Leadership - Series for Women – Hear a powerful inspirational speaker, learn the top 5 benefits of goal setting, acquire the steps to create bold goals, meet and learn from other women leaders! May 8th, 2014 from 1:00 pm to 5:00 pm, NBCC Moncton. To register, contact Sharon
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Rate of Reported Sexual Assault per 100,000 Population, N.B. and Canada In 2010, there were 585 reported incidents in N.B., for a rate of 78 sexual assaults per 100,000 population. The Canadian rate was 65 per 100,000. |
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FRAMING VIOLENCE AGAINST WOMEN
34 years ago, a film was released called Why Women Stay (i.e. in abusive relationships). In 2014, the question persists, because the violence isn't ending. Why are we placing that kind of responsibility on women (i.e. to leave)? Has it helped to end the violence? No, it certainly hasn't.
Over the years, laws have adapted, making it a crime to physically abuse one's wife; services have been developed and offered to women who are abused by their partner, and for those trying to leave an abusive situation. We've gained insight as to “Why women stay” – meaning what are the countless barriers to them actually leaving.
As quoted recently in a Canadian Women's Foundation article :
“Too many people assume that if a woman is in an abusive relationship that she is making a choice to stay and that she has the power to end the abuse if she just leaves...
Canadian Women's Foundation studies show 67 per cent of us know a woman who has been abused...
So why doesn't she just leave?
She may stay because she fears for her life or the life of her children because he's threatened what he might do if she dares try to leave…
She may stay because she believes she has nowhere to go…
She may stay because everyone thinks her abuser is a "good guy" and she feels ashamed and embarrassed…
She may stay because she's willing to sacrifice her own safety [so] her children won't have to grow up in poverty or without a father…
She may stay because she grew up in a family where abuse was normal…
She may stay because she loves him and he seems to regret the violence…
She may stay because she blames herself...
It's time to stop the victim-blaming.”
Asking “Why does she stay” not only places responsibility (and blame) on the victim, but perpetuates the myth that women have the power to end it. Instead, why aren't we asking men why they abuse, and why they aren't ending it?
A stark reminder for us all from a grade 11 student :
“In 2011, Statistics Canada found that women are 11 times more likely than men to be victims of sexual offences… Also, on average, a woman is killed by her intimate partner every six days...
It's 2014, and 90 per cent of sexual assaults go unreported. Why? Because women fear being blamed for rape on account of skirt length or alcohol consumption, and because they'll be told they were ‘asking for it'.
It's 2014, and women are stuck in abusive relationships, and instead of calling out the abuser, we call the victims weak for staying in these relationships….
What are we going to do about it? Write it off as ‘women's issues'…?”
We have a good sense of why women can't leave an abusive relationship. It is time to gain a better understanding of why men's violence continues. http://bit.ly/1j97riy
http://bit.ly/QQKLcx
http://bit.ly/QQL339 http://bit.ly/1rFqvYu
The study, by Kate McInturff, a Senior Researcher at the CCPA, ranks Canada's 20 largest metropolitan areas based on a comparison of how men and women are faring in five areas: economic security, leadership, health, personal security, and education.
“Canada has made great progress in ensuring that men and women have equal access to health care and education, but that hasn't translated into personal safety at home or promotion at work,” says McInturff.
Among the study's findings:
TOWARDS SAFER WORK AND MIGRATION FOR WOMEN
Safe migration enables equitable, inclusive growth and human development for countries of origin and destination. It brings enormous benefits to economies and migrants and their families. Remittances to developing countries, which reached an estimated $406 billion in 2012, are three times the size of official development assistance and are expected to continue growing. Around the world, a record number of women migrate to seek work and better lives.
But all too often, migration can carry dangerous risks, such as exploitation in domestic jobs, and vulnerability to violence. According to the new Secretary-General's Report on Violence against women migrant workers , submitted to the 68th General Assembly, many women migrant workers face discrimination, violence and exploitation at all stages of migration. For example, Almaz*.
Like tens of thousands of young Ethiopian women who leave the rural countryside to work in homes across the Arab States and North Africa, Almaz saw migration as an escape from poverty.
“I went because I wanted to get an income and change my life,” says Almaz, a 30-year-old woman from Ethiopia's northern Amhara region, recalling how she travelled to Saudi Arabia in 2012 as a domestic worker. Soon after arriving, she was forced to do work she was uncomfortable with, including caring for a sick and elderly relative of her employer. “I told them that I didn't want to do it. When I refused, they didn't give me food.”
She subsequently fell ill and had to be hospitalized. She was further tortured and subjected to an acid-attack by her employers. http://bit.ly/19khpdt
IN PARTING
"We ask justice, we ask equality, we ask that all the civil and political rights that belong to citizens of the United States, be guaranteed to us and our daughters forever."
—Susan B. Anthony, Declaration of Rights for Women, July 1876
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Toll free:
1-877-253-0266
Fax: (506) 453-7977
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is sent out twice a month by the provincial government Women's Equality Branch. It provides news related to equality issues, including events, studies, initiatives and information from women's groups, governments, universities, etc.
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